Tablette couronnant le chapiteau de la colonne.
Archéologie - Pas-de-Calais le Département
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Tablette couronnant le chapiteau de la colonne.
Église d'une abbaye ou d'un monastère.
Se laver le corps ou une partie du corps à des fins de purification religieuse ou par mesure d’hygiène.
Motif décoratif inspiré des feuilles épaisses et profondément découpées des plantes du genre Acanthus.
La réalisation d'opérations d'archéologie préventive est conditionnée par l'obtention d'un agrément délivré par l'État. L'agrément garantit la qualité scientifique et opérationnelle d'une entité, publique ou privée, afin qu'elle puisse procéder à la réalisation d'opérations d'archéologie préventive. Les collectivités territoriales peuvent être agréées pour les diagnostics ainsi que les fouilles. Les sociétés privées ne peuvent réaliser que les fouilles.
Au sens du décret du 3 juin 2004 sur l’archéologie préventive, les aménageurs sont les personnes qui projettent d’exécuter des travaux.
Archéologue spécialisé dans l’étude des restes humains. Il étudie les pratiques liées à la mort, inhumations et incinérations. Il peut également définir la taille, le sexe, l’âge et les maladies que présentent les squelettes.
Technique basée sur la correspondance à une variation de la courbe du magnétisme terrestre et de l’alignement de la structure magnétique d’un matériau ayant subi une transformation causée par une chaleur importante.
Archéologue spécialisé dans l’étude des ossements de faune. Il étudie les relations de l’homme avec le monde animal dans le passé. Il répond à différentes questions, concernant la morphologie des animaux, leur utilisation par l’homme, ou encore l’histoire de l’alimentation des hommes en viande.
Moulure arrondie séparant le chapiteau de la colonne.
Peuple de la Gaule Belgique qui réside dans une région qui correspond à l’Artois et dont la capitale est l’actuelle ville d’Arras.
Élément permettant de bloquer le moraillon.
Petit récipient contenant une essence, un parfum.
Bassin qui sert à décanter, à séparer les inclusions (minéraux ou végétaux) présents dans l’argile. On laisse cette dernière reposer dans de l’eau afin de l’épurer, de la purifier de ces impuretés.
Outil avec des pointes aidant à aplanir les côtés d’un bloc en perçant des petits trous.
Outil en forme de marteau tranchant et dentelé permettant de dégrossir un bloc en pierre pour obtenir un parallélépipède.
Le département du Pas-de-Calais dispose d'un Centre Départemental d'Archéologie (CDA) depuis 1988 qui réalise des missions de médiation et de conversation de collections préhistoriques départementales. Depuis octobre 2007, le Centre est agréé pour les opérations d'archéologie préventive.
Le CSS (Cascading Style Sheet), que l'on pourrait traduire en français par "feuilles de styles en cascade", correspond à des feuilles de styles préformatées dans les logiciels de traitement de texte classique. Il permet d'élaborer une charte typographique déclinable aisément sur tout un site internet.
Dynastie franque qui succéda aux Mérovingiens avec Pépin le Bref et qui régna en France de 751 à 987.
Technique de quadrillage consistant à délimiter une surface en carrés identiques et localisés.
Plate-forme surélevée permettant de placer des pièces d'artillerie en hauteur pour renforcer la puissance de feu de l’artillerie.
Moulure creuse et concave.
Échancrure formée sur une arête.
Il faut distinguer le chanoine régulier, religieux vivant en communauté généralement selon la règle de Saint Augustin, du chanoine séculier, clerc diocésain membre d'un chapitre cathédral ou collégial.
Pratique préhistorique qui consiste à récupérer de la viande sur des animaux morts. Ce terme se distingue de la chasse, parce que les animaux ne sont pas tués, ils sont morts naturellement ou ont été tués par d’autres.
Le chrisme est un symbole paléochrétien formé des deux lettres grecques Ι (iota) et Χ (khi) correspondant aux initiales en grec de Jésus Christ.
Mur extérieur contenant l’eau de la douve dans le fossé d'une fortification pour constituer un obstacle aux attaques et pour garder à distance les ennemis.
Mur de fortification entre deux bastions.
La croix de saint André est un symbole paléochrétien en forme de X faisant référence à la croix sur laquelle l’apôtre André a été crucifié.
Elément de construction soutenant une charge en surplomb.
Vaisselle rouge à la surface brillante souvent décorée d’animaux, de personnages ou de feuillages utilisée à l’époque romaine. En latin, sigillum veut dire sceau. Ces sortes de cachets étaient appliquées pour réaliser les décors ou pour signer ces fabrications.
Archéologue spécialisé dans l’étude des céramiques (poteries).
Petite voûte ornementée surplombant une statue.
Tranchées de sondage effectuées sur toute l’emprise d’un projet d’aménagement, par lesquelles les archéologues évaluent la présence et l’intérêt de vestiges archéologiques. Si le diagnostic est négatif, les travaux d’aménagement commencent. S’il est positif, les archéologues procèdent à une fouille archéologique.
Monument érigé au Néolithique, composé d’une ou de plusieurs dalles horizontales reposant sur des blocs verticaux formant les parois d’une chambre funéraire.
Minéraux ou végétaux ajoutés à l’argile pure afin de réduire la plasticité de la pâte en vue de diminuer son retrait au séchage et à la cuisson.
Petite boutique, ordinairement avec un toit à une seule pente, adossée contre un mur et soutenue par des poteaux.
Ensemble composé de l’architrave, de la frise et de la corniche.
Marque, signature du potier attestant de l’authenticité du produit. Elle permet d’attribuer chaque céramique à un atelier de production.
Désigne la portion de la zone côtière alternativement recouverte par la mer lors de la marée haute et découverte lors de la marée basse. Il s'agit d'un écosystème dynamique où se rencontrent et interagissent des éléments terrestres et marins.
Petit temple romain qui provient d’une tradition celtique. Il est composé d’une seule pièce carrée entourée d’une galerie et délimité par un enclos quadrangulaire.
Épingle double en bronze ou en fer servant à agrafer deux plis d’un vêtement. Elles ont des formes proches de nos épingles de nourrice mais étaient souvent décorées.
Plaque couvrant le mécanisme de la serrure.
Technique permettant d’incorporer du verre coloré pour la décoration.
Terrain en pente douce obligeant l’assaillant à s’exposer à la défense.
Ciseau à dents pour dégrossir un bloc dans les endroits inaccessibles à la bretture.
désigne une interruption ou une pause dans la séquence d'occupation ou d'utilisation d'un site.
Espèce d’hominidé présente en Afrique dès 1.9 MA qui va peupler tout l’Ancien Monde et se diversifier sous des formes multiples. C’est le premier bipède permanent, le premier vrai chasseur, le premier aussi à maîtriser le feu. Sa capacité cérébrale est de l’ordre de 1 000 cm3. Sur le territoire français, il est représenté à Tautavel (450 000 ans).
Espèce d’hominidé identifiée en 1961 en Tanzanie, daté de 2.4 MA. Sa bipédie est plus affirmée que chez le genre Australopithèque. Sa capacité cérébrale dépasse 600 cm3, il fabriquait des outils rudimentaires en silex et sa dentition indique qu’il était omnivore, bien que plus charognard que véritablement chasseur. Le qualificatif "habilis" est quelque peu usurpé puisque certains Australopithèques fabriquaient eux aussi des outils.
Espèce d’hominidé qui évolue en Europe à partir d’homo erectus et heidelbergensis. L’Homme de Biache-Saint-Vaast (200 000 ans) est considéré comme un pré-néandertalien. Les fossiles les plus typiques (Saint-Césaire, La Ferrassie) présentent une capacité cérébrale supérieure à l’homme actuel. L’espèce disparaît vers 25 000 ans après une cohabitation de plus de 10 000 ans avec Homo sapiens.
Notre espèce apparaît en Afrique il y a plus de 150 000 ans et va peupler tous les continents. L’hypothèse d’une hybridation avec les espèces indigènes, Néandertal en Europe notamment, n’est pas totalement exclue. En France, le fossile le plus emblématique est celui de Cro-Magnon dans la vallée de la Vézère.
Pxyde de fer naturel de couleur rougeâtre ou brune.
Pratique consistant à faire brûler les morts et à réduire leur corps en cendres. Le mot vient du latin cinis, cendres.
Désigne l'ensemble des objets en pierre transformés intentionnellement par les hommes pour en faire des outils, des armes, etc.
Pratique consistant à mettre en terre un mort. En latin humus signifie terre.
Dans le domaine de l'archéologie et de la découverte historique, un inventeur est la personne qui découvre par hasard un objet, un site, ou tout autre élément d'intérêt historique, culturel ou scientifique qui était jusque-là inconnu, caché, ou considéré comme perdu.
Angle formé, en un point donné de la surface terrestre, par la verticale du lieu avec le plan de l'équateur, et compté de 0 à ± 90° à partir de l'équateur, positivement vers le nord, négativement vers le sud.
C'est le poids placé dans le fond d'un bateau, d'un ballon, ou de tout autre véhicule, dans le but de lui conférer une stabilité accrue. Dans le contexte maritime, il s'agit souvent de matériaux lourds tels que du sable, des pierres, ou du métal, qui sont utilisés pour équilibrer le navire, améliorer sa manœuvrabilité et maintenir une assiette correcte, surtout lorsque la cargaison est légère ou absente.
Corps d’armée composé d’infanterie et de cavalerie.
Minerai noir ou oxyde de fer.
Le marnage, mentionné dans le contexte des fouilles, fait référence à une pratique agricole ancienne consistant à extraire la marne du sol et à l'utiliser comme amendement pour améliorer la qualité des terres cultivables.
Grand bloc de pierre dressé, parfois orné érigé au Néolithique.
Alternances de creux et de reliefs.
Pièce mobile fixée sur l'abattant d'un coffre pour permettre la fermeture.
Peuple celtique établi dans le Boulonnais et soumis par César (56 avant notre ère).
Butte artificielle construite avec la terre accumulée lors du creusement d’un fossé. Elle comporte une tour de guet en bois au sommet, et une basse-cour comprenant les habitations, la ferme et parfois une chapelle.
Ensemble de moulures dans une architecture.
Monument composé d’un ou de plusieurs grands blocs de pierres.
Nymphe qui participe aux célébrations des fêtes de Bacchus.
Peuple de la Gaule Belgique qui réside dans une région qui correspond à la Flandre française et à la côte de la mer du Nord et dont la capitale est l’actuelle ville de Cassel.
Nom donné à la première dynastie des rois francs (460-751 après JC).
Espèce d’hominidé qui évolue en Europe à partir d’homo erectus et heidelbergensis. L’Homme de Biache-Saint-Vaast (200 000 ans) est considéré comme un pré-néandertalien. Les fossiles les plus typiques (Saint-Césaire, La Ferrassie) présentent une capacité cérébrale supérieure à l’homme actuel. L’espèce disparait vers 25 000 ans après une cohabitation de plus de 10 000 ans avec Homo sapiens.
Vaste lieu de sépulture.
Ce mot d'origine grec signifie "verser le vin". L' œnochoé est un vase à une anse et à panse arrondie possédant une embouchure de différentes formes. Le plus courant est un bec tréflé. Avec la patère, elle forme un service à ablution utilisé durant l’Antiquité.
Lieu fortifié gaulois établi sur une hauteur.
Au sens du décret du 3 juin 2004 sur l’archéologie préventive, les opérateurs sont les personnes qui réalisent les opérations archéologiques préventives.
Circonscription territoriale rurale dans l'Antiquité romaine et au haut Moyen Âge.
Les Australopithèques les plus robustes sont placés dans un genre distinct appelé Paranthrope. Trois espèces sont identifiées en Afrique :
Ce sont tous des bipèdes, datés entre 2.5 MA et 1 MA. Certains sont capables de fabriquer des outils. Ce ne sont pas a priori des ascendants directs du genre Homo.
Grande coupe basse parfois munie d’un manche. Avec l’oenochoé, elle forme un service à ablution utilisé durant l’Antiquité. Généralement en bronze, elle est parfois copiée en céramique.
Décoration suspendue à un collier.
Pièce de ferronnerie fixée transversalement et à plat sur le panneau mobile d'une porte de manière à le soutenir sur le gond.
Poids assurant la bonne tension du fil lors du tissage.
Colonne rectangulaire ou carrée.
Outil tel qu’un sceau qui sert à imprimer ou marquer une empreinte comme un décor (animaux, personnages) ou une signature (nom du potier ou de l’atelier de production).
Obtenu par le chauffage de la résine de pin ou de sapin.
Pierre à gros grain utilisée pour polir d’autres pierres notamment les haches utilisées au Néolithique.
Outil servant à dégrossir la pierre puis à aplanir les faces. Il est composé de deux tranchants, le premier est parallèle au manche alors que second est perpendiculaire.
Manche en bois muni d’un crochet utilisé au Paléolithique pour augmenter la vitesse de jet des sagaies.
Petite boîte avec couvercle contenant des fards ou des bijoux pendant l'Antiquité et des hostiles à l'époque chrétienne.
En forme de la lettre grec oméga (Ω).
Saillie d’une partie sur une autre.
Outil servant à gratter une surface.
Placé sous l’autorité du préfet de région au sein de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), le Service régional de l'Archéologie instruit les dossiers de prescriptions archéologiques, contrôle les opérations sur le terrain et lors de l’étude. Il réalise la carte archéologique nationale et édite un bilan scientifique régional tous les ans.
Placée à la base d’un mur, elle est en bois et elle supporte la structure d’un bâtiment.
Longue arme de jet du Paléolithique utilisée parfois avec un propulseur.
Moulure formant un creux arrondi.
Fosse creusée dans la terre pour y conserver des végétaux.
Référence aux zones périurbaines qui entourent le noyau central des agglomérations antiques.
Activité artisanale consistant à confectionner des objets en os destinés à la vie quotidienne (aiguilles, peignes, outils, dés, jetons de jeux…).
Moulure au relief arrondi.
Diviser en trois lobes.
Surface en demi-lune sculptée qui est situé au-dessus du portail d’un édifice religieux.
Vase pour les parfums.
Ce mot latin désigne une exploitation agricole d’époque romaine. Au milieu du domaine rural, la villa est constituée d’une cour avec les bâtiments agricoles, et d’une cour privée avec l’habitation du maître.
Portion du plafond de la voûte délimité par des arêtes ou des ogives.
L'eXtensible HyperText Markup Language, dit XHTML, est un langage de balisage servant à écrire des pages pour le World Wide Web, plus connu sous le nom d'Internet.